Photo des locaux du cabinet dentaire

Toxicité des amalgames et alliages métalliques

Nous parlons en Médecine Dentaire Intégrative de la toxicité du mercure et des alliages métalliques sujet aux fuites ioniques.
Les plombages ne contiennent en réalité pas de plomb. Ils sont un alliage d’argent et de mercure qui est classé dans des métaux lourds et hautement toxiques.<
En France, depuis peu, le discours officiel vis à vis des amalgames dentaires s’est fortement modifié.

Ainsi, en 2015, pour l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament :

« Malgré l’absence d’éléments formels de nature à remettre en cause le rapport bénéfice/risque des amalgames dentaires à base de mercure, l’Agence a réaffirmé sa volonté de voir réduire de façon importante l’utilisation des amalgames à base de mercure dans le cadre du traitement de la carie dentaire. A ce titre, l’Agence précise que les amalgames ne doivent être réservés qu’à des situations cliniques particulières pour lesquelles les autres techniques ne peuvent être utilisées »

L’amalgame connait de plus en plus d'interdiction ou de contre-indications à travers le monde à cause de sa toxicité. Celle-ci est décrite dans la littérature scientifique sous trois aspects :

  • Toxicité par rapport au mercure sous forme de vapeurs.
  • Toxicité par rapport au mercure sous forme de sels de méthylmercure.
  • Toxicité par rapport aux courants et champs électromagnétiques générés par sa constitution métallique. La présence de plusieurs métaux en bouche cause un courant de type pile électrique encore appelé électrogalvanisme.

Cette tension électrique peut entraîner des parafonctions comme le bruxisme (grincer des dents) ou des acouphènes.

La multiplication des ondes par les téléphones et le Wi-Fi pourrait avoir également une influence sur les cellules de notre organisme par leur interférence avec les différents métaux présents en bouches.

En 1997, une vaste enquête allemande a permis de vérifier que le mercure s’échappe des plombages.

L’équipe de chercheurs de l’université de Tübingen, en Allemagne, fait analyser la salive de 18 000 sujet porteurs de 9 amalgames chacun en moyenne. Elle a rédigé ensuite un rapport de 77 pages, révélant qu’après dix minutes de mastication d’un chewing-gum, la salive renferme une moyenne de 47 microgrammes de mercure par litre. Sachant que la norme utilisée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour l’eau potable est de 1 microgramme par litre, cela signifie qu’à chaque repas, les porteurs d’amalgames ingèrent environ 47 fois plus de mercure que la norme autorisée.

Le lien ci-dessous présente une vidéo qui montre comment les vapeurs de mercures s’échappent des obturations et vont vraisemblablement intoxifier les organes en s’y accumulant.

Le lien ci-dessous présente une vidéo dans laquelle nous pouvons voir comment le mercure détruit les fibres nerveuses.

Certaines personnes peuvent porter de nombreux amalgames sans aucun signe d’intoxication aux métaux lourds et il n’est alors pas nécessairement recommandé d’éliminer systématiquement les obturations au mercure présentes en bouche.

D’autres, porteurs de peu de ces obturations présentent des symptômes locaux comme une sécheresse de la bouche, une inflammation et des sensations de brûlure de la bouche et de la langue, des aphtes, une gingivite, des gerçures des lèvres.

Nous pouvons légitimement nous demander si ces symptômes ne sont pas liés à la présence de virus sur un terrain nerveux en cours de destruction.

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